Bienvenue dans le monde merveilleux de l'ingénierie du bâtiment, où les ingénieurs sont plus rares que des licornes !
Imaginez un secteur où les ingénieurs sont aussi difficiles à trouver qu’une place de parking à Paris un samedi soir. Eh bien, c’est exactement ce qui se passe dans l’ingénierie du bâtiment ! Les entreprises cherchent désespérément à recruter, mais les candidats qualifiés se font aussi rares que des perles dans une huîtres.
On en avait déjà parlé il y a 12 ans dans cet article : La France manque t’elle d’ingénieurs ?
Vous pensiez que savoir utiliser une calculatrice suffisait ? Détrompez-vous ! Aujourd’hui, il faut maîtriser l’IA, le BIM, et même savoir parler aux murs (enfin, presque).
Les ingénieurs doivent être capables de jongler avec les nouvelles technologies tout en respectant les normes de décarbonation.
La pénurie d’ingénieurs, c’est un peu comme si votre équipe de foot préférée jouait sans gardien de but. Résultat : des milliards d’euros de manque à gagner pour les entreprises d’ici 2030. Vous avez dit « crise » ? Non, c’est juste une petite catastrophe économique.
D’ici 2030, 80 000 nouveaux emplois devront être pourvus dans l’ingénierie. Mais attention, spoiler alert : 1 recrutement sur 5 pourrait rester non pourvu. Autant dire que les RH vont devoir sortir leurs plus beaux tours de magie pour attirer les talents.
Pour sauver la situation, il va falloir sortir l’artillerie lourde : promouvoir les filières scientifiques dès le collège, créer de nouveaux cursus, et développer la formation continue.
Bref, transformer nos écoles en usines à ingénieurs !
Et qui sait, peut-être que d’ici là, les ingénieurs seront aussi courants que les pigeons à Paris (enfin, on peut toujours rêver.
En résumé, le secteur de l’ingénierie du bâtiment est en pleine crise de recrutement, mais avec un peu d’humour et beaucoup d’efforts, on devrait pouvoir s’en sortir. Alors, prêts à relever le défi ?
En tout cas , je suis juste ICI